Étude surréaliste 1 : des papillons en oxyde de cuivre
Étude surréaliste 1 : des papillons en oxyde de cuivre
Zigzag des âmes isolées câblées en séries limitées, on zappe les amarres et voyez-en les terres à l'autre bout de ce tintamarre. Il n'est ni drôle ni à faire ni à nier bien que l'oiseau de nids à nids tisse ses ramages d'un coup de craie.
Il est quatre heures et un kilomètre et trois grammes plus ou moins un mot doux — qui passe dans nos oreilles rugueuses puis par un couloir, donnant sur deux couloirs, donnant chacun sur quatre pattes le soir, avant qu'au champ du coq on laboure les théorèmes déconstruits sans se salir les serpentages des âmes en fête.
Un peu moins et c'était la débandade des spires rouges de honte. Les sbires de notre monde sont en voie de s'écraser contre les vagues de rocs en roue libre de tous nos péchés, de nos ombres du matin, et d'un petit peu moins de ronces sèches sous lesquelles nichent :
des papillons en oxyde de cuivre