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Deux militants de Greenpeace mis en examen après le vol de la statue d'Emmanuel Macron

2 comments
  • La partie importante :

    Je ne comprends pas cette décision d'ouvrir une information judiciaire, le musée Grévin a bien indiqué qu'il n'y avait aucun préjudice. De plus en plus, la justice devient un instrument pour dissuader des militants d'exercer leur liberté d'expression et d'opinion", a-t-elle déclaré, affirmant également que "la garde à vue s'[était] passée dans des conditions absolument sordides"

    Le musée, qui avait porté plainte lundi une fois le vol constaté, a ensuite pris cette affaire avec humour. "La contemplation des personnages se fait uniquement sur place", indiquait ainsi son compte Instagram.

    Me Marie Dosé affirme également que les deux militants ont été "attachés pendant des heures à des bancs, trimballés de commissariat en commissariat", et que "l'une a passé la nuit sans couverture et n'a pas pu s'allonger, car sa cellule était trop petite. L'autre a dû dormir au sol, car sa cellule contenait trop de personnes."

    La répression croissante de l'activisme pacifique est un des marqueurs du quinquennat Macron.

    Ça aura des conséquences qui ne leur feront pas plaisir (la radicalisation des activistes).